Cet article aborde le cadre nécessaire pour exprimer les besoins en entreprise quand on devient parent, et découle du thème de la semaine de la QVCT en 2020 : “Associer les salariés: Donner à chacun la possibilité de s’exprimer et d’agir pour améliorer la façon de travailler.”
Explorons quelques-uns des différents cadres qui existent à ce jour.
Le cadre-fantôme : on ne peut pas exprimer ses besoins en entreprise quand on devient parent
C’est le cas d’entreprises qui n’ont défini aucune politique pro-parentalité. Cela plonge les collaborateurs et collaboratrices dans un flou qui leur demande de réfléchir sur la bonne manière d’annoncer leurs différents événements liés à la parentalité.
Les conséquences ?
- Ils / Elles passent du temps sur des questions qui n’ont pas de valeur ajoutée, au lieu de le passer sur ce qui compte pour elles / eux tant dans leur vie personnelle que professionnelle.
- Ils / Elles prennent sur eux / elles la frustration liée au manque de cadre.
- Ils / Elles fonctionnent de manière non optimale et cela peut avoir un impact sur l’ensemble de l’équipe, et donc la façon de travailler.
- Ce fonctionnement non-optimal a un coût pour les entreprises.
Le cadre de faux-semblants : on croit pouvoir exprimer ses besoins en entreprise quand on devient parent
C’est le cas d’entreprises qui font semblant de totalement accepter les événements liés à la parentalité. Elles font même croire que (…) – Si vous souhaitez avoir accès à l’intégralité de cet article, vous pouvez nous contacter pour souscrire à un abonnement à nos ressources pour les entreprises.

Laisser un commentaire